De l’allaitement, il y a des histoires que l’on n’entend pas : les doutes, la fatigue, la culpabilité. Quatre amies me racontent.
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De l’allaitement, il y a des histoires que l’on n’entend pas : les doutes, la fatigue, la culpabilité. Quatre amies me racontent.
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C’est un poème récité, comme un rituel, pour se souvenir d’une voix et s’observer changer. Sam a 27 ans – bientôt 28. Il raconte ce que l’injection d’une hormone fait à sa vie.
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À 68 ans, Zébulon aime toujours manger des choux à la crème et du fromage dégoulinant. Pour lui, le risque n’est pas le trou dans la dent ni le bouchon dans la veine, mais un mauvais dosage de sucre dans le sang.
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Depuis les années 2010, les musiques électroniques ont le vent en poupe à Paris. Au début de la décennie, un ensemble d’acteur⋅ices institutionnel⋅les, publiques et privées, se sont en effet accordées autour de la mise en place de politiques de la nuit. Se conformant aux principes de la ville créative, iels ont facilité le développement d’activités festives qui se sont tout particulièrement déployées dans la banlieue parisienne. Ce fleurissement n’a malheureusement pas échappé à des formes d’instrumentalisation de la culture, accompagnant parfois de près les politiques urbaines qui préparent le Grand Paris.
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La baie de San Francisco subit une crise du logement sans précédent. La hausse vertigineuse des loyers et les incendies monstres qui ravagent la Californie ont conduit 29 000 personnes à dormir dans la rue, tandis que presque la moitié des habitant·es envisage de quitter la région en raison du coût élevé des locations.
Face aux expulsions massives dues à cette double catastrophe sociale et écologique, les sans-abri se sont regroupé⋅es en campements autogérés et les locataires ont créé des syndicats pour déclarer la grève des loyers. Retour sur ces pratiques de lutte contre la gentrification et la spéculation immobilière, où les plus précaires – en grande partie non blanc⋅hes – s’auto-organisent, au grand dam des élites économiques et politiques.
Depuis 2015, le syndicat des locataires de Los Angeles (LA Tenants Union ou LATU) s’organise pour que chacun⋅e ait droit à un logement décent dans son quartier. Dénonçant les faux arguments des propriétaires visant à ménager le marché de l’immobilier et les mesures gouvernementales court-termistes, le LATU participe d’un vaste mouvement social qui frappe là où ça fait mal, à coups d’occupations et de grèves des loyers. Manifeste.