De l’allaitement, il y a des histoires que l’on n’entend pas : les doutes, la fatigue, la culpabilité. Quatre amies me racontent.
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De l’allaitement, il y a des histoires que l’on n’entend pas : les doutes, la fatigue, la culpabilité. Quatre amies me racontent.
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C’est un poème récité, comme un rituel, pour se souvenir d’une voix et s’observer changer. Sam a 27 ans – bientôt 28. Il raconte ce que l’injection d’une hormone fait à sa vie.
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À 68 ans, Zébulon aime toujours manger des choux à la crème et du fromage dégoulinant. Pour lui, le risque n’est pas le trou dans la dent ni le bouchon dans la veine, mais un mauvais dosage de sucre dans le sang.
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Traduction de l’italien par Claire Feasson Article original : « Anversa, il villaggio fantasma e il porto più efficiente del mondo », Napoli Monitor, 13 septembre 2017. Les marchandises s’en viennent, la vie s’en va. À l’extrême nord de la Belgique, sur les rives de l’Escaut, Anvers est aujourd’hui le deuxième port d’Europe, derrière Rotterdam, et la première place boursière mondiale. Comme au Havre en France, la zone portuaire veut s’étendre encore et toujours, et augmenter ainsi le flux de containers arrivés du monde entier. Mais ces monstres-boîtes, qui acheminent nos biens de consommation, mangent peu à peu les gens alentour. Entre les […]
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Livre d’histoires et d’analyses politique, boîte à outils, auto-enquête, recueil de chansons, collection de tracts, livre partisan qui ne dit jamais « je » mais donne à entendre des centaines de voix, L’Orda d’oro est à ce jour le seul livre qui évoque aussi complètement la foisonnante inventivité sociale, théorique, culturelle et langagière de l’Italie des années 1960-1970. Et il aura fallu attendre le printemps 2017 pour retrouver cette histoire en hexagone, grâce à la traduction aux éditions de l’Éclat, enrichie par le collectif de traduction d’un appareil de notes indispensable au lecteur français 1. En ces temps de crise « créative, politique, et […]
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Avec le concours de Jean-Baptiste Bernard La grande crise argentine, qui a frappé le pays entre 1998 et 2002, n’a pas seulement généré de la sueur, du sang et des larmes. L’épisode a aussi été l’occasion de multiplier les expérimentations passionnantes. Parmi elles, les ouvertures d’écoles populaires, initiées en 2004 à Buenos Aires avant d’essaimer dans les autres grandes villes, sont indissociables des célèbres transformations d’entreprises en coopératives par leurs ouvriers. Car c’est souvent dans les locaux des usines récupérées que les professeurs et militants de l’éducation populaire donnent leurs cours. Et c’est très largement à destination des ouvriers qu’ils […]
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